Le 16 mai 2011 paraissait dans la Dépêche du Midi un article signé Laurent Gauthey.
Sans y voir de mal, cet article parlait de moi comme
«
Le turbulent Jean-Pierre Petitguillaume. »
C’est de là que tout est parti. Depuis quelques temps déjà, je brûlais d’envie de créer un journal sur le « Oueb ». C’est ainsi que dès le lendemain, le 17 mai 2011, je créais le premier numéro du Turbulent.
Au tout début, il n’y avait qu’une centaine de contacts, (nous en sommes à ce jour à plus de 2000). Dans la foulée, avec quelques amis, nous décidâmes de la création d’un site qui devait s’appeler « Turbulences09 ». Il fût créé avec l’aide d’un ami en une dizaine de jours, ce que nous estimons modestement aujourd’hui comme un exploit.
Nous le constatons tous les jours, parmi les deux mille « abonnés » au Turbulent, nombre d’entre-eux renvoient le journal à leurs contacts, qui renvoient à leur tour, qui renvoient à leur tour…, ce que nous appelons les ricochets. Nous n’imaginions pas au mois de mai 2011 que notre « petite entreprise » allait connaitre un tel succès. Journal du collectif anti-corruption ariégeois à l’origine, il a aujourd’hui un caractère plus « politique » sans être prisonnier d’un courant ou d’un parti politique quel qu’il soit.
Notre équipe est soudée, et preuve qu’il est possible de travailler ensemble, il se trouve que toutes et tous n’ont pas forcément voté pour les mêmes candidats aux élections présidentielles et législatives de 2017.
Notre « terrain de jeux » est situé en Ariège avant tout, mais cela n’empêche pas nos publications de franchir les frontières du département et bien au-delà, et c’est heureux. Cela a pour conséquence l’augmentation de nos « aimables correspondants ». Bien entendu, et nous l’avons déjà dit, chaque information qui nous est transmise est vérifiée une, deux, trois fois avant de faire l’objet d’une parution. En revanche, et c’est une règle que nous nous sommes fixée, aucune information qui nous est transmise anonymement n’est traitée. Autant le dire tout de suite, en près de dix ans, elles ont été insignifiantes (2 fois).
Aucun d’entre nous ne cherche fortune dans les actions entreprises, c’est la raison pour laquelle l’abonnement au journal « Le Turbulent » est gratuit, l’accès au site également et il en sera toujours ainsi. Abonnez-vous et faites abonner vos amis et vos proches, vous êtes les bienvenus.
L’équipe du journal